Puisque c’est lundi, je voulais vous parler de Jour Férié.
Derrière ces mots évocateurs se cache Nathalie Elharrar. (comment dire les choses sans qu’elles soient trop sucrées ?) (j’adoooore cette femme).
Nathalie est une créatrice de souliers des pieds à la tête en passant surtout par le coeur. Elle s’est consacrée pendant des années à sa marque Larare qui propose des souliers très hauts, très « archi », très innovants.
Virage total en 2014.
Pour le printemps-été 2015, elle a remis les choses à plat. Et invente une ligne unisexe, casual et chic à la fois, composée de mocassins et derbies. Conçus comme des gants de pied, on est en mode masculin-féminin-katharine-hepburn pour les filles, et dandy-cool-al-capone pour les mecs. Perso., la seule chose que j’ai pensé en les découvrant (je suis tombée dessus sur un salon, j’ai pas déscotché du stand), c’est que j’allais ENFIN voir mon mec chic pendant les vacances et le Week End ou tout simplement les beaux jours de la semaine. TOUT en m’assurant qu’il ne me fasse pas biiiiip parce que « hiiin je trouve rien qui soit aussi confortable que les baskets et pi j’aime pô les nu-pieds ».
Pourquoi je vous en parle aujourd’hui ? Parce que les français ont parfois des bonnes idées.
Nathalie s’est dit que pour financer cette nouvelle marque, il suffisait d’avoir le maximum de modèles pré-payés. (oui parce que, quand vous avez une marque de chaussures, c’est à vous d’avancer les fonds à l’usine, alors même si vous avez 50 000 paires en commandes et que c’est génial, bah il faut sortir 50 000 paires de trésorerie, voyez le problème ?)
Du coup, elle a eu l’intelligence d’ouvrir son carnet de commandes… à tous.
Et pour que tout le monde soit content, elle propose de pré-vendre la collection printemps-été 2015 au même tarif que pour les boutiques, soit à 50% du prix public. Vous attendez et vous recevez votre paire quand les livraisons d’été arrivent, en février (2015).
Je vous précise que je ne touche aucune commission sur les ventes. Je tenais à donner un coup de pouce à Nathalie pour cette initiative super démocratique. La collection ne paie pas de mines (on n’est pas dans le souliers à 7 doigts) mais elle possède tous les ingrédients pour nous rendre fou d’attachement.
Ces chaussures, c’est comme le bonheur, ça ne se raconte pas.
Si vous avez envie d’avoir plus d’infos, de commander une paire, ou d’autres questions shoesesques, envoyez un mail à Nathalie (elle prolonge les ventes rien que pour nous jusqu’au 8 novembre) : bonjour@jourferieparis.com.
(Les modèles coûtent entre 250 et 380 euros prix public, je vous laisse faire la soustraction hein).
Bonjour Docteur, je viens de craquer sur une magnifique paire de Barbara Bui en Python noir…mais j’ai un petit stress sur l’entretien et surtout sur la façon de les garder beeeeeeeeelles le plus longtemps possible…auriez-vous un petit conseil ou même plein de conseils ? Merci d’avance…
(Dans un autre registre, les boots Bordeaux de chez Others Stories – la petite boucle à la cheville -m’ont vraiment déçue, les semelles se sont décollées apres quelques utilisations…snif)
Ohlala. Par le plus grand des hasards je retombe sur ce post qui m’a fait découvrir la marque! Depuis, 4 paires de Jour férié ont fait leur entrée à la maison! 3 pour moi, 1 pour mon homme.
Même avis pour nous deux: des chaussons à porter dehors!!!
Encore merci (ou pas, hein!, ça dépend si c’est le coeur ou les poches qui parlent!!) d’avoir ce blog qui a très, très, très fortement amplifié mon amour des chaussures.
@Ariane Ahahahah merci pour ce message ! Je suis vraiment contente pour Nathalie la créatrice qui est une fille en or et un véritable artisan de la chaussure qui mérite que l’on porte ses créations. :)